dimanche 21 décembre 2008

Mais où passe le temps qui coule sous les ponts ?

Mouarf, on m'avais bien dit que c'était bien trop compliqué de tenir un blog pour que j'y arrive. "On" est un peu con soit dit en passant parce que quand on a un agenda de ministre comme Ahmed Kelly, croyez moi on a autre chose à foutre que d'écrire sur internet.
Tiens d'ailleurs on écrit sur internet ou dans internet, parce que j'écris sur le clavier de ma machine à écrire, sur mon cahier, sur mon agenda ou à coup de batte sur le dentier d'une vieille mais internet physiquement c'est assez dur à toucher. C'est tout aussi dur de s'appuyer dessus, vous remarquerez. Bref, encore un truc que ces branleurs d'académicien on décidé à la va-vite.
Comme me le faisait remarquer mon cher amis Xavier D. : "il y a vraiment que des tires aux flancs dans ce pays pourri."
Alors je me suis demandé l'autre jour en reparlant d'une soirée dont je ne me souviens plus très bien que ça serait fun d'utiliser ce blog pour raconter les aventures d'Ahmed Kelly et finalement c'est pas con parce qu'Ahmed Kelly à travers ses périgrinations il en voit des vertes et des pas mûres et bien assez pour commenter ce qui doit l'être.

Tenez par exemple l'autre jour Ahmed Kelly est allé voir un négociant de sa connaissance et figurez vous que ce négociant a décidé d'engager un stagiaire pour l'aider dans son entreprise de négoce. Louable en première approximation, c'est si dûr de trouver du personnel qualifié par les temps qui courent. Mais finalement quelle ne fut pas la déception d'Ahmed Kelly et de son ami négociant, à n'en pas douter, quand ils se rendirent compte que le stagiaire était lui aussi un branleur. Ca m'énerve ça, on essaie de donner une chance aux jeunes, on leur fait des lois rien que pour eux, on leur trouve du boulot, on les fait vivre et cette bande d'ingrats ne sont pas foutus de faire le travail correctement. C'est à vous dégouter des jeunes, je vous jure. Surtout que pour payer son stagiaire, je suppose, notre ami négociant a fait des coupes budgétaires drastiques et ça se ressent au niveau de la marchandise, de la quantité surtout.
C'est bien un truc de capitaliste ça : pour relancer la consommation, on réduit les quantités et on fait acheter plus souvent. Faudrait voir à pas prendre le consommateur pour une buse non plus.

Ah si tout le monde avait le sérieux de la Ahmed Kelly inc. le monde tournerait mieux, parole d'Ahmed.

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